La nudité de l'esprit.

Une bohème sans poème, un vertige entre des branches, la page blanche de ton absence prunelle d’un cahier au papier brouillon, mes mots immigrés dans le coin d’une marge l’encre d’une éternité. Entre les lignes se dérobent les syllabes de nos syntaxes transies de lettres froides, reflet de lèvres, l’accent aigu sans l’accent de ta bouche est un intrus. Et cette apostrophe aiguë a la couleur d’une faute d’orthographe, erratum d’une fin de chapitre et ce parfum de glace  à l’italienne calembour d’un calendrier  se fait alien *.