La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

La boîte de Pandore …

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Chanter pour inviter un je t'aime, chanter pour faire valser la gueuse, chanter pour recueillir un cœur orphelin. Chanter et s'enivrer d'un parfum de jasmin, main dans la main, chanter le requiem d’un fou.

 

Unique maître de mes vers mon cœur de verre sur du papier. Mon cœur sous l’anesthésie du poète, laissez-le rêver.

 

La nature est belle et donneuse, prends soin d’elle, elle est la source qui chantonne. Elle est la femme et son aumône.

 

Platon et son caleçon deux amis d'enfance, l'un parle l'autre se tait.

 

Paupières vacillantes,

plume somnolente

rimes latentes,

feuilles voilées,

vers gercés,

papier froissé,

sommeil valet

ferme mes volets.

 

Je demande un trois fois rien à la vie. Qu’elle me laisse offrir à la vie ces quelques mots d’amour grisants bohèmes au gré de mon cœur. Ma main tzigane gisant sur le grain de papier  qu’épouse le petit grain de folie de ma poésie. L’automne balbutie … Et ma plume s’ennuie. 

 

Ton cœur est aube et non crépuscule, à la nuit tombée réverbère de lune, la chandelle de ton âme éclaire de toute sa beauté. 

 

Apprendre à dégrafer le corsage de la vie avant d’entrevoir la poitrine du soleil, la grande affiche, le céruléen et la bohème azurée.

 

Regarder derrière s'agenouiller, entendre le présent et se relever, la lumière jaillira.

 

Il y a le rire du clown sa liberté. Et puis il y a le clown triste et sa fierté.

 

Juste le temps d'écouter ton souffle au levant.

Te revoir un court instant cheveux au vent.

Un soupçon du jour entendre frissonner des phrases au couchant.

Une bouche

à bouche

de maux

à mots,

 tes lèvres dormeuses,

 ouvreuses yeuses,

 empathie

 quand tu souris.

 

Les vagues perlent, silence, être l'oiseau, mirage ...
Les ailes dans le vague, le bleu dans les yeux, l'aurore boréale berce ma peau.
Les flamants roses osent, quelques pas en sandales, butine le cœur, voyage.

 

Un aujourd'hui est un jour alors qu'importe le chemin du temps, une dérive où le bleu de la mer, ou bien  la déferlante des mots passants, Maupassant  passant par-là, du gui au milieu du houx ...

 

Le cœur emprunte le chemin qui lui semble sien. Ses pas ne sauraient bifurquer sur les lignes de sa propre main.

 

Il faut avoir connu la détresse animale pour vaincre la barbarie et faire de l'inhumain, un humaniste, le journal d'un aujourd'hui. 

 

Amicalement,  la boîte de Pandore.

 

 

 

 

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15/12/2014
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