La nudité de l'esprit.

Eh 2014 je te kiffe trop ! Loin de ce pont tremblant où j’ai bien failli perdre pied. Qui sait je vais  peut être écrire un rap à l’orgueil mal placé, glisser dans la désinvolture l’an passé. Oublier Freud, siffloter  un litron de liberté et à l’occasion m’enivrer d’ambition.  Écrire un autre jargon finish  the made in  mélancolie, la vie a parfois les mains moites et le cœur blet. Je te remercie Michèle Levy d’avoir rapiécer sous mes pieds ce vieux filet quand ma corde fut rompue. Il y a des âmes qui nous paraissent tellement pures qu’on veut s’en rapprocher … Puis quand on en a fait le tour on préfère les contourner. Je crois que janvier me fait mal au yeux … Quand je regarde défiler 2013 dans son rétroviseur …    

Ce regard de Jézabel m’inspire …

D’un humble reflet faire un voile de mariée, loin de mes marées basses. Fuguer au lointain d’un battement de cils, albatros aux mille désirs, élixir  de geisha où l’ombrelle du temps nymphe de merveilles m’envoûterait, charnelle sorcière. De ma plume déchirer ce papier d’ambre mort faire naître l’ambre pur au creux de tes paupières où le vert espérance se fait guinguette de l’absence.