Au-delà de la guerre.
Je voudrais panser toute la misère du monde et pourtant … Je vis en libertine, terre d’infortune n’apporte que rire narquois de solitude. Ivresse de lune, je voudrais convier le soleil aux soupirs du temps, élaguer la peine, faire fleurir les océans … Donner la fièvre des sentiments à l’arbre mort, sa crainte de vie éparpillée dans le vent. Sillage de mots de vie, je voudrais faire l’amour au soleil levant, comme Adam et Éve croquer la pomme du premier homme, gémissements de vie, Sous la tonnelle de mes amours entonner un éternel chant d’amour. Dans mon voile blanc, sans témoin, je fais semblant … Je voudrais entendre le rire de l’enfant. Moi, j’ai le cœur artificiel !
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