Bonne nuit ...
Quand tu me manques trop je claque des dents ...
Je m’invente des heures en dentelle
où mes pensées s’emmêlent,
fidèles à ce temps
où ton image de sage écolière
m’enlaçait tendrement.
D’avoir l’âme vagabonde,
je ne te ferai point la guerre …
Car ta liberté n’est qu’une plaie passagère.
Quand dans tes bras se meurent mes pleurs de cafardeuse.
Je redeviens l’adolescente hasardeuse
d’un mois de mai
et
pas une seconde je ne veux m’éloigner de notre amitié.
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