Courbature d’une poétesse.
S’accrocher à un rouleau de papier et la vie défile, s’enchaîne à mes chaînes, marchande de parchemin.
Et tu seras mendiante,
le cœur bohémien,
jongleuse comme une catin.
mais tu seras rêveuse
et généreuse
offrant tes quatrains
sur les chemins de ton destin.
Et dans tes draps de satin,
tes rimes vauriennes
se feront plaisir divin,
et dans ta couche tremblante,
tu accoucheras courbaturée et fiévreuse,
insouciante et donnante,
d’un enfant de bohème,
ton premier poème.
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