Drapé de prunelle.
Laisse-moi plagier les larmes de ton sourire, danse d’immortelle et m’enivrer de ce lac frémissant sous tes paupières, passerelle du temps. Je grignote de mes lèvres la brume perlant de tes cils écluse de tes soupirs. Mes ailes d’oie sauvage n’ont aucune crainte de la mousson, dentelle des saisons. Le vent d’autan entonne le prélude des bruines automnales, une mélopée hivernale apprête son mouchoir, mon cœur est sans gouvernail.
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