Frisson de l’essence …
Comme un après, une momie dénudée de son sarcophage, s’affaissent les sentiments … Ces turpitudes hébétées écrites sur un papier bleuté, les ecchymoses de l’âme, serre les poings bon dieu ! Deviens terroriste ! Ne sois plus mendiante d’une intimité … Eh ne joue pas les comiques ! Ces petites bêtes ça ne meurent pas … Oh non ! Ça te ronge de l’intérieur … Vêts-toi de ta plus belle robe et valse, tournoie à te griser que ta tête ne sois plus que tourbillon d’un soir … Les fleurs du mal fleurissent encore dans ton jardin obscur, elles t’attendent lascives, au coin de ton sourire perdu. Ce n’est rien, il fait juste chaud dans ta conscience …
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