Jonglerie d’une métaphore.
Jouer avec les mots, joug, quand les maux jouent.
La lenteur d’un geste n’exclut pas la rapidité d’esprit.
L’hésitation de la parole révèle la lucidité de l’être.
L’ébriété de la parlotte ne constitue pas une présence d’esprit.
Le silence converse toujours dans le bon sens, d’un retour vers un aller mais jamais dans votre dos.
Il est démesuré de croire à l’inaccessible car lui seul connaît ce lieu incommensurable.
Le bon dieu est un éternel mendiant car il nous tend toujours la main, du premier pleur du nourrisson jusqu'aux qu’à la dernière larme d’horizon.
Chandelle d’émotion,
les barbelés d'un chant d'automne résonnent ...
Les barbelés d’un champ d’automne raisonnent,
comble d’illusion.
Si tu ne donnes pas un petit peu de toi tu ne posséderas jamais rien.
Car les sentiments que tu empruntes à autrui ne seront jamais tien.
La vieillesse nous aime car elle nous inculque la vie tout au long de son voyage.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres