L'éphémère.
Mon vieil amant... Laisse-nous vieillir comme deux vieux cons cherchant la caresse abandonnée. De la couche-culotte à la robe de chanvre en passant par la culotte courte jusqu'à la larme du fossoyeur. Un vol d'oies sauvages le grand V...
Un décolleté l'art éphémère de la vie c'est dégainer des mots d'amour, puis le port des gaines... Quelle dégaine !
Au port des pleurs le marin revit Amsterdam, le port de la Grand'Voile jusqu'au mélodrame. Nuit chinée à l'ancre d'un regard, draps de velours au quai du crachin, laisse sombrer le magicien; si tu l'oses la prunelle morte pour témoin. Les lèvres chagrines reviennent bohémiennes des quatre vents, greffier la main du grand salopard ce temps et ses moments souffrants. Se dévêtir de l'aube pour revêtir le crépuscule. Pustules et ridules, le ridicule entre ses virgules, année V riss meuh, anévrisme, les mayas, Maya l'abeille... Restaurer la corbeille balet des cieux.
* Balet : Galerie couverte, balcon.
* Riss : Troisième glaciation quaternaire dans les Alpes.
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