La geôlière.
Je me noie, ma mère, mon enfant, mon alexandrin, au creux de ton destin, un irrésistible refrain. Quelques larmes dans un écrin aux souffrances de verre, des éclats de vers, ce n’est rien … Rien que le parfum de mon enfance, rien que le chagrin d’une existence, rien qu’une innocence éreintée qui réapprend à vivre sur un chemin qui apprend la vie. De ma verve et d’une main, je deviens sentinelle de ton temps sans image, sans ligne et sans demain, je suis la gardienne de ta mémoire.
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