La grand voile.
Ton regard
venu de nulle gare
termine son chemin
au creux
de mes reins.
Pose tes mains
sur mes hanches.
C’est une petite avalanche
quand ton corps
se déhanche
je trouve un port
à notre bateau
où tous deux
seuls maîtres
à bord,
nos lèvres bord à bord,
nous partons
à la dérive.
Hissez haut
le matelas,
rive droite
sans aviron,
plage d’hôte
à l’unisson
nous voilà
trop amoureux,
et bien piètres,
mon jupon
et ton caleçon
suspendus au grand mât.
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