Le dormeur du trottoir.
Une larme bohémienne éphémère corolle et ce monde indigent tournant en rond pauvre con. C’est la morte saison il fait si froid dehors se cloisonne l’hiver. Sanglotent les amours mortes images sans parole. Et ce frisson de feuilles mortes. Et ce temps encoche des quatre saisons. Et puis clairière au vent coureur les moissonneurs de la dernière villa, la clayette des cieux quatre planches de rêve et une poignée de clous, crucifix d’un trottoir et musette vole au vent. Au loin un chien de prairie vagabond du dernier abri, tant résonnent les vêpres ricanent les malappris.
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