La nudité de l'esprit.

Écrire pour fuir le temps qui passe sans juger le lendemain, le rêve au creux de la main et s'enivrer de souvenirs. Ne retenir qu'un brouillon de vie au souffle inachevé. Ne rien dire vivre sa fuite, mentir serait fortuit. Le chant de la larme papier buvard, une seconde d'avenir comme un point virgule. Effacer l'interligne soupir de l'infini.