Le vin du solitaire.
Et le vin est odieux s'il somnole aux cieux. Dans la main quelques gouttes pourpres le verre du bon dieu. Un ravin dans les yeux raviné en la prunelle bleue de la femme aux adieux. Pour le pourpre de l'amour un ultime rouge. Et se damner d'envie de vie, s'enfuir pour le fruit. Et l'Angel libertine dans la nuit de ses vestiges, marée galante, s’empourpre au cœur reposé. Un chaland d'océan d'ivresse une bouteille à la mer.
S’enivrer de beau gelé, un baiser à Baudelaire, la beauté du diable, entre tendresse et détresse, poétesse à se damner.
Baudelaire en sa noblesse d’outre-tombe engendre un mélancoliquement mien.
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