Liberta.
Ô ! Petite Marie, jolie poupée dans ton emballage de carton … Une goutte de vague à l’âme dans le bleu de tes yeux, tu voudrais prendre le large … De la pointe des pieds tu t’inventes une valse, le silence soierie blanche se fait rampe de velours, ta main, tes lèvres goûtant le souffle du marin. Souffle le vent de la pénitence, la fièvre des cormorans, l’albatros et son indolence au soleil couchant, compagnons de l’indifférence. L’aile du goéland caresse tes jambes nues, ondoie le tissu sur tes hanches, chaland de vie.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres