Ma légion n’erre …
Ah ! Qu’il était beau mon légionnaire, son col roulé sous la brise d’été. Sans son sabre ensanglanté avec sa beauté de jouvenceau pour unique baïonnette, il se faisait frisson enveloppant mes seins. Un peu de rosée perlait sur mes hanches, dansons la Carmagnole sur un tapis de mousse, tous deux, brin de muguet chuchotant avec élégance aux fraises des bois une chanson paillarde. J’aimais tes coups de cruauté caressante, allegro, et la fringale de tes faiblesses, fortissimo, mon légionnaire.
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