Prologue.
Les petits cailloux d’ombre tout au fond de ton cœur se transforment en fleur de lumière quand à ta foi tu t’abandonnes. Le reflet du passé n’est qu’un instant la paralysie de ton amour. Offre à ton destin la passion du temps. Défriche ton chemin, toi seul est le guide de tes pas. Entre l’ombre et la lumière tu te dessines pas à pas, un univers en filigrane que toi seul peux apercevoir. Ne querelle pas ta conscience essaie juste de la comprendre. Les cernes de ton regard sont les sourires voilés de ton enfance. Quand ton âme se fait mise à prix, baisse les enchères de ta vie. Car nul être n’a conscience de l’aphasie de ton souffle. En chaque battement de cœur accueille la sérénité comme une clef, ouvreuse d’amphithéâtre. La mère porteuse de ton entité n’est autre que ta source qui s’écoule, filet d’eau en ton intérieur. Tu es ton propre sourcier, celui de ton bonheur et celui de ta douleur. Chaque coursier porte sa croix, sa potence à bout de bras, revient le droit d’être vainqueur à celui qui du bout des doigts brisera sa croix, à autrui qui de ses larmes de joie éteindra les flammes de son bûcher.
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