Rail ...
Dans la gorge du loup coule encore le sang chaud de l’agneau égorgé et pourtant il a froid … Baigné dans ce pourpre, son karma à la main, dans un vieux cartable de cuir, des perles de vie, gouttes du Sahara … N’être plus que chien huant dans les rues du temps … Toutes ces petites paroles aigries égrisent tous ces grands humanistes qui disent : -« Il faut savoir attendre mon petit ! » Toutes ces synopsies de photos jaunies ne sont que paralysie dans le fond de ses yeux. L’âme sans traîne, trépasse préface, synopsis mort-né, mangeur de temps.
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