Tempo.
D’égrapper mes rides, dégrafer ma peau en détachant les apnées de liesse. Commencer à me rhabiller vivement en rattachant mes grains de beauté sur ma peau défaite, écorner la pudeur, égrener ma peur, voir une lueur la beauté du cœur et oublier mes hanches qui blasphèment sous l’appréhension du temps, les spasmes de l’âme pronom indéfini. Ce que voit le cœur et ce que raconte la vie … Ce que regarde la vie et ce que le cœur nous conte …
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