Une lèvre sur une joue.
Violoncelle, brume légère, bohème et balancelle,
quartier Latin,
l’éveil d’un matin,
mon oreiller bohémien,
un brin de jasmin,
la paume d’une main,
me vient l’ivresse d’un vaurien
où le temps comédien
du bout de ses doigts
me bordait de joie.
Violoncelle, femme légère, ballet d’airelles,
une balade d’hirondelle,
la brise m’enivre bohémienne sans chemin,
d’alizé au zéphyr balancelle de demoiselle
l’oiseau-lyre et ses battements d’ailes.
D’un bout de drap
combattre le froid,
laisser partir la gosse,
le printemps et sa cosse.
Crécelle,
un vol d’oies sauvages
caresser des images,
laisser mourir l’orage,
Se fondre dans l’alpage.
Mozart et son paquetage,
Chimène d’un hasard,
la bohème et son vacarme,
prunelle au blizzard
apprivoiser ses larmes.
Quatre saisons, Vivaldi ainsi va la vie, ponton.
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