La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Voyage au-dessus des cieux.

 

 

 

 

Je me sens partir vers un infini désir.

 

Mon sang coule en privilège, en larmes de vie.

 

Comme une fatigue qui crie, mes yeux restent entrouverts.

 

Mes lèvres balbutient des paroles hypnotisées, des étrangères.

 

Ma mémoire défaille, une porte entrebâillée, sans caractère.

 

Une sirène déferle, la police de mes mots cherche ses caractères

 

et

 

d’un vertige sanguinaire, mes vers s’endorment dans une couche de misère.

 

Ma douleur a égaré ses maux, d’un long manteau blanc ils se sont recouverts.

 

Mère ce voile devant tes yeux ne m’est point austère

 

et

 

s’assoit devant eux mon âme en prière.

 

 



24/07/2012
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