La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Le blues de ma plume.

 

 

 

J’ai rayé mes rides

 

d’enfant sage

 

sur le  vinyle de la vie.

 

J’ai mal au cœur

 

de ma petite vie,

 

petit velours de douleurs.

 

Je suis l’esclave nourricier

 

de ton fruit doré.

 

Ma lune de jour,

 

mon soleil de nuit,

 

amante évanouie,

 

j’accours

 

pour un sourire.

 

Un seul de tes soupirs,

 

me guide jusqu’à l’envie,

 

me fait vivre,

 

humble souvenir

 

que je suis.

 

Je songe

 

à toi ma vie

 

et à la sale môme

 

qui s’oublie

 

sur un quartier

 

de vie.

 

On ne peut marier la rose

 

et l’aubépine.

 

Car on n’ose

 

à ces deux fiancées

 

offrir une alliance

 

de vie et de mort fine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



15/11/2012
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