Arbre de vie.
Presque nue au petit matin, le temps compagnon de toutes ces rues indigentes, la retenue d'un déshabillé, une peau au goût de miel où butine la vie... La tendresse clandestine du chemin des sans-logis où trébuchent des pas, où chancèle l'innocence.
Quand s'égrène mon cœur me reste ta main comme une marionnette en garde à vue.
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