Texte sans titre ou texte aux cent titres.
Tant que passera le grand voilier au loin… Se dessineront les méandres du grand large. On dit que je n'ai pas d'humour et ma gueule sans amour me joue le compte à rebours des remous jusqu'à la moue. Je suis l'affranchie d'une lettre jaunie. Un phrasé mélancolique et Shakespeare s'en tape de mes larmes clandestines. Les replis de ma conscience du cousu main, à trop croire à l'innocence on deviendra mendiant d'espoir.
Tous ces trottoirs,
butoir d'amour,
encore une rue...
Y laisser un cœur sans avenue.
Flegme à tics, flegmatique.
Je me gratte l'échine, en p'tit clochard, mon encre chine, un vol d'oies sauvages, les fleurs de mon mal requiem de pages blanches ; mon amiral ? Retiens la Grand' voile !
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