Autant en berce le Mirador…
Et ses gestes d’une main en aveugle, du souvenir orphelin à la larme puisée. L’emprunt des saisons et décembre passeur de cendres. Autant en emporte le temps à la porte du couchant mais le cœur fringant voyageur, de son orfroi chineur brode chaque jour une aurore boréale à l’orée d’un levant. Un rêve à la main, s’asseoir sur un vieux banc, guetteur du temps, et au potron-minet, glaneur un tendre Noël blanc vagabond du temps.
Rachel Désir
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