Ben …
Le froid du jour ondule sur ma peau, tes doigts sont des comédiens, apaisent mes frissons qui déambulent dans le bas de mes reins. Oh … Oh oh ! Petit vaurien ! Sous la houle de tes lèvres vagabondent mes rêves. L’ivresse du matin se fait parchemin sous nos draps souterrains. La tresse de tes mains enivre mes seins. Une balade au bord d’une histoire d’Ô ruisselle sur mes courbes à l’abandon. Mais l’aurore me gourmande et me réclame une promenade au bord de l’eau.
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