Bon dieu …
Cocon du firmament où les anges pleurent, les ailes repliées, fontaine de plumes blanches. Où les maux se rendent, pavillon blanc. Où les lèvres du temps sont ecchymoses des sentiments. Ils hurlent à la lune, les mots d’amour de ta bouche défunte, toi l’émigrante d’un autre soleil où la lave éteinte d’une autre terre caresse ta peau et sculpte la dernière robe d’une valse de Vienne. Où ton cœur épinglé sur les murs de l’horizon saigne, élan bleuté d’une corde de violon qui rompt. Brame à l’orée de la vie où la nuit se fait seigneur. Cavalière seule des lignes d’une main où cinq doigts signent en silence les vers du bal de ton âme.
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