Cécile.
Sur un vieux bout de trottoir la caresse de l'airelle esseulée, d'une môme aux seins lourds le bleuet s'en est couché. En cet adieu nul lieu. Ce rêve bleu glycine caressant l'anthracite de tes cils. À la lèvre abandonnée le cortège délicieux de la rose effarouchée.
Petit mot de l'auteur :
À trop croire en ton talent tu en oublies celui des autres. Le monde est empli de beautés, il suffit de les caresser du bout des doigts pour les apprivoiser et d'une prunelle les broder.
RachelDésir
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