Chapitre.
Le cœur écrit, main du temps, compresse de l’âme des caresses immolées.
L’âme tisse la cordelette, petite ange de ton regard ambré s’estompe une chanson d’automne où une roseraie sous le soleil courbatu se meurt bourgeons court-vêtus.
S'effeuille la femme rose des sables,
l'égraine le temps portefeuille des heures.
Que nulle n'aie l'illusion d’être fleur éternelle
d’un pêcher charnel,
d’un péché de vigne
où la vie s’incline,
lignes de la main aumônière du temps.
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