Charme d’un petit vaurien.
Château blanc sabre le temps, le sable au gré du vent. Métisse d’amour au lever du jour ta main dans mes cheveux, un vol d’hirondelles, s’envolent colombine mes larmes rayon de lune sans retour. L’ivresse des oies sauvages sans bagage, quelques gestes s’apprivoisent ... Il n’y aura qu’un voyage dans ta prunelle inébranlable paysage, glissent nos rêves. Sans lassitude au bord des lèvres, me reviennent sans cesse tes caresses, dans le silence de ta main le chagrin de mes seins.
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