Do, d’eau, dos, d’ô.
Epouse solitaire et ce cri libertaire, le cœur au célibat errant gamin, la vie prête à mettre bas, pousse douce en mon cœur, me pousse douce l’absence. D’un ru de souvenir ruisselle ma peau, qu'un clair de lune égaie un déshabillé automnal. La main d’un bohémien voile de satin sur mes seins, m’enchante le chant d’un rossignol glaneur là dans la baie de mes reins, cueillette de la baie sauvage. Rince-doigts en ma clairière l’obédience de mes jours de pluie.
De l’amour bourgeon de vie jusqu’au temps fleuri, j’ose l’instant subtil d’un érotisme, filigrane d’un lange. Comme c’est étrange mon ange … Entre songe et prunelle un brouillon d’innocence.
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