Chut …
La peau à même le sable chaud, le soleil en châle à fleur de songe caressant mon regard pâle. Au lointain la lune peintre sauvage s’éveille, desquame la mer en lambeaux de lange noctambule. Éole sabre de bois, d’un entre-doigt me tient la main. La nuit marquis de Sade m’enveloppe de son drapé, voile scandinave. Et la rosée au charme vandale, tonitruante, m’invite au bal masqué des anges de l’été. Un loup sur le visage j’entame ma première valse, emmaillotée de baisers.
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