De l'ado à la femme.
Une auberge lointaine, la caresse des immortelles, me revient ta lèvre bhoème... Les hennés gitans flirt indécent de nos nuits d'amazone, incandescente aurore. Mes rires de gosse se pleurent ultime bonheur. Nos gestes se déshabillent, dentelle éphémère, orphelines de rivière nos larmes prénuptiales.
Les bohémiens d'un soir, les lampadaires aux guirlandes joyeuses, les écrivains de porcelaine n'ont dans les yeux qu'un rêve éternel. La poussière d'encre pour tout quai, du bleu au bord de la prunelle reflet d'ecchymoses d'âme en peine.
RachelDésir
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 30 autres membres