Dentelle souffleuse …
Deux trois caresses bohèmes, tes doigts lingerie sur mes reins, tes mains tremblent poète dans la baie de mes seins. Le coton de tes lèvres sur ma peau, doux blâme d’une tendresse sauvage. Gousset, le goût sait de ta bouche toutes ces choses susurrées de la rose apprivoisée. Ta prunelle joue l’orpheline, d’un lange, veuve blanche, papillonnent tes cils, de tes paupières valseuses ma nuit est éprise. Mes courbes fuguent sur la pointe des pieds, ballerine ensorcelée sous le mistral de mes hanches tâtonneuses, mes cheveux traînent corsage souterrain. Voilure des anges, je m’éveille bohémienne éperdue dans le damas rêveur du pourpre de ton cœur carême au firmament.
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