Dialogue d’ombres.
Ta caresse bandeau pur sur mes yeux, engendrant les cieux. Et cette tendresse de l’âge de porcelaine, émigrante sur le bord de ta prunelle, la gitane et ses ailes nurse de bohème. Il y a du blues dans ton regard, petite orpheline, loin d’une marelle, de ton sac de billes, le marécage … Chut … Écoute la mer et sa vague, le bleu de tes mirettes solfège de son rivage. Arrête de pleurer la vieille ! Raconte-moi un morceau de soleil. J’ai mis ma bouteille à la mer, quatre vers sans champagne, une larme bohémienne déferlante d’une prière brisant de cœur conte la rocaille. Qu’il n‘y ait plus beau port qu’une poignée de violettes, fleurs offertes à la volée d’une main fermée.
Texte inspiré par cette œuvre : http://l-univers-anitagc-creations.blog4ever.com/l-hymne-de-la-mer#message_1932913083.
Anitagc, je crois que tu ne t’attendais pas à un texte comme ça ! Moi non plus d’ailleurs, j’écris ce qui sort … Je viens d’être grand-mère aujourd’hui pour la cinquième fois d’un petit garçon et maman n’est pas là pour le voir.
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