En haut de l'affiche.
On s’économise d’un rien et se cambre la vie deux, trois bouts de chandelle ! Envol violé d’apnée en apnée, l’anthracite hirondelle du voyage des années, soupirant au regard éternel, le temps d’un regret, s’affaire un visage d’enfant, un cœur de bohème … Un tapis blanc, mature d’une peau, l’ombre d’une pureté, eau de jouvencelle, l’aube d’un nouveau né, l’aurore d’un vieillard, nappe brodée d’or et d’argent, l’encens et le sucre fondent, silence. Carillonnent les cloches, les mômes tourbillonnent … Un bout de trottoir, un titi parisien, une chambre d’hospice, des rires de gosses s’endorment, draps de rides caressant des épaules.
Retour aux articles de la catégorie Le puits de ma conscience. -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 36 autres membres