Géante de papier.
Poète dans le fossé, le chant du mineur, je crois bien qu’elle a encore alcoorêvé … N’épluchez pas son cœur ! Pitié ! Ne coupez pas ses pleurs. Chapeau bas à l’artiste d’ailleurs. Un fusain et des fleurs, la caresse de l’orgueil, une prunelle étranglée. Du bout de ses pas un pavé entravé. Chasse-couleurs maroufler sa peau de quelques larmes, maraudeuses de quartier, la maraude du métro, toutes ces vitres sans rétro … L'indigo dans les yeux indigent de charmille, le pourpre en balancelle bohémien d’aquarelle dans ses cheveux. To dream for ever one must believe in his freedom. Yesterday, remember you.
Retour aux articles de la catégorie Nouvelles ! -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 24 autres membres