Irrémédiablement me ramène le vent …
Á mes regrets, portée, mes cernes voile gonflée, basculent mes pieds et charmille canaille traînant sous mon pas … Jolie guinguette tire-moi l’oreille, emmène-moi tonnelle bohémienne cueillir l’airelle et croquer la pomme venelle au vent.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres