Juste avant la fin du monde ...
Ne me reprochez pas d’écrire comme un homme … La vie est au féminin, l’amitié, la mort également et la maladie aussi, seul le mot amour reste masculin, ma plume s’avère comme moi féminine … Allez, mes rimes en euse sont magnifiques, avouez-le ! Ma muse n’est qu’une gueuse, ma gosse prieuse, ma page pleureuse, mon papier pleureur, mes lignes merveilleuses, mes vers majestueux et mon cœur un môme malheureux, une rose éclose …
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