La grande roue. Á la Baudelaire …
Enfant des sables, fouit ta main, môme de cendres. Et nos jours dévêtus fouille solitaire … La misère esclandre d’une lèvre le verlan, le vers lent, l’an vers l’envers … Les feuilles mortes printanier glacis d’ornière, fondrière des fleurs pâles la larme anathème rivière automnale. Et la bergère file la laine, son écheveau au vent d’autan, autant de blanc dans ses cheveux, mercenaires ses mèches blondes.
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