La portée des cieux …
La rose et le chagrin, liberté d’un matin tiens moi la main. Je t’emmènerai marée de goélands … Goûter la vague et le sel des fonds marins, nous voguerons jusqu’au sans lendemain. L’innocence du cœur à portée de la main, ailes blanches de cœur de bohémien, toutes deux immigrées d’un peuple souterrain, sur notre chemin la caresse des anges porte à porte d’un destin, là, poser sur tes paupières, un océan de lumière, nos maux sans blasphème à la porte de l’Olympe.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 27 autres membres