La traîne …
Autant en emportent les neiges éternelles, le manteau blanc de tes lèvres au pourpre éteint. Un cortège de fièvre sur la grève ce matin là s’est enfoui, pèlerine la dormance sabre blanc, sabre les rêves. La main de l’Himalaya tendue, l’inaccessible du bout de mes doigts, le vent d’autan, traîne de marée, me ramène tes larmes les infidèles de l’autant.
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