La vague de l’au delà.
Sous les courbatures du temps,
la caresse d’un cygne
sous le grand bleu,
elle lui fait signe,
sa chevelure d’ébène
caresse le silence.
Son âme s’évade
en intermittence,
filet blanc,
passerelle
où le rêve
se flagelle,
cingle son visage
de larmes en fleuve.
Les rivières
de son jardin d’éden
sont des jouvencelles
où fleurissent
et paradent
le cœur ouvert,
des roses éphémères
s’accrochant au vœu
d’être plume d’ange
à la porte du grand sage.
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