L’aigle noir …
Notre chanson une héroïne de papier, quelques pas de carton tes arpèges, crissent des gravillons … Fleur bleue, la larme à fleur de peau, nos cheveux portée au vent. Joue-moi les jeux interdits, des frissons de guitare, orpheline dans tes bras je saurai être l’enfant. De dièses et d’un bémol flottera ce lange blanc, un tremblement de tes doigts se déhanchent les notes de nos draps. Ma prunelle en guenille, la rose libertine d’un pourpre joyeux libertin sera une incroyante de satin. Un déshabillé de gueule noire tapi dans la mine, cachemire sur les reins la prière d’une dame au camélia. Du raisin à Parme chiffonnade de chemin, ne croire qu’en une main bateleuse de dentelle.
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