L’attrappe-rêves, la trappe rêve …
Le masque d’un jardin d’éden et je purge ma peine et mon pouls s’accélère et la vie nous lacère … Crémière de mes lèvres un lange blanc aux neiges éternelles, fugitives prunelles des pluies diluviennes d’un deuil sevré, on m’ôte servante me reviennent cortège les valses de Vienne. Dièse ? Des niaiseries et le temps rit … Un SDF fredonne la Javanaise. Me pourchasse chienne une vie en rappel, la cordillère des Andes ambrée jusqu’à plus femme. Je m’endors sur la paillasse où le chien a couché, nos caresses aboyées, toutes ces saisons que nos rêves ont couchées. Laiteux papillons blancs nos matins au levant de tous ces vents. Une ivresse déshabillée me reviennent prussiennes les beautés de la rose. Traînées les négligés de soie de ces femmes fatales où tes doigts ont trop parlé de ces choses tendres. Que me reste-il ? Un oreiller où ces chiennes ont couché ... Accoucher l'orgueil d'une nuit ... Une femme louve d'amour à la laisse brisée. Replay ! Que lui reste-il ? Un oreiller où le temps s’est accouché ... Accoucher de l’orgueil d’une vie ... Une femme louve, chienne d'amour à la laisse bridée. Montmartre, tout est calme, martre toute blottie contre toi enfant courbaturé, affalé le quartier Latin et son mal de reins, un petit parisien une rose à la main.
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