Le sceau du crescendo.
Dis-moi la rose … Serait-ce l’aubade du pourpre de ta robe qui fait valser l’aurore. Á la caresse de ma main sur ta corolle déshabillée, l’églantier s’y oppose. Dresse rempart de ses épines. La lune m’est morose, mendiante et esseulée ma peau se fait louve de lèvres ambrées qu’elle imagine à portrait tiré. Grappiller à la sauvageonne quelques veinules d’horloge, que devienne nurse l’arme blanche du temps.
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