L’éphémère.
Puisque nous sommes si nombreux.
Je m’oublie un peu …
Une trêve
au milieu de mes rêves,
une ronde d’adieux,
larmes et aveux,
tout ce que j’ai pu écrire,
je l’ai écrit à l’encre bleue
de la mer,
ancre de cœur,
une bohème sans bagage.
Non ne tournez pas la page !
Puisque nous sommes si nombreux.
Regardez-moi encore un peu,
écrire mes vers,
ronger les pages,
poème au mat blanc,
immigrée sans âge.
Puisque nous sommes si nombreux,
moi je veux
vous l’offrir ce si beau voyage,
sans arrimage,
sans naufrage,
le réécrire …
La baie des anges,
grand' voile par tous les temps,
puisque nous sommes si nombreux,
les copains bâbord,
l’avenir tribord,
vers …
* J’ai plagié deux trois chansons, un film …
Passeport des quatre saisons, les rêves d’abord …
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