Les yeux de Juliette …
Et sur la branche mourante quai de brume, la prunelle élève rebelle sur le banc des accusés, mon pouls traîne sa bohème, clocharde de ruelle, poussière d’ange mes ailes en rappel. Le temps n’est qu’un flibustier tamisant la misère. Et d’un bois de cercueil se réchauffent les cieux. Fillette ne regarde pas l’hiver, son givre écueil, à sa rosée morte se sèchent tes lèvres. La paupière Chimène d’un bal clandestin, vois la rose effeuillée de la larme infidèle et l’amant imberbe à tes pieds.
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