Lisière argentée.
Ah, ce petit chemin sentant la noisette, enfoui sous les feuilles et le givre m’entraîne au lointain … Renifler l’air du temps, une seconde comme l’enfant blond, cent ans en longue barbe blanche, je voulais grandir sans canne comme la pudeur d’une page blanche. Un cachemire devant les yeux, émir des cieux sans canne blanche, mes cheveux blancs, chevaux de bois du carrousel du temps, je voudrais vieillir comme l’enfance sans maquillage, les cheveux longs.
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